Los Angeles, 1981. Bret, dix-sept ans, plongé dans l'écriture de Moins que zéro, entre en terminale au lycée privé de Buckley. Avec Thom, Susan et Debbie, sa petite amie, il expérimente les rites de passage à l'âge adulte : alcool, drogue, sexe et jeux de dupes.
L'arrivée d'un nouvel élève fait voler leurs mensonges en éclats. Beau, charismatique, Robert Mallory a un secret. Et ce secret pourrait le lier au Trawler, un tueur en série qui sévit dans les parages. Terrorisé par toutes sortes d'obsessions, Bret se met à suivre Robert. Mais peut-il se fier à son imagination paranoïaque pour affronter un danger menaçant ses amis et lui-même, et peut-être la ville et le pays entier ?
Dans White, son livre précédent, Ellis écrivait : « Je grandissais au pied des collines de Sherman Oaks, mais juste au-dessous s'étendait la zone grisâtre du dysfonctionnement extrême. Je l'ai perçu à un âge très précoce et je m'en suis détourné en comprenant une chose : j'étais seul. » Les Éclats est le roman de ce détournement et de cette solitude.
Joseph Kessel - Maurice Druon : retour au pays des grands hommes.C'est encore le temps des héros, des aventuriers, des bâtisseurs. La vie ne leur fait pas peur. Ils la défient, ils la dévorent. Ils la veulent à la mesure de leurs rêves enflammés.L'un est l'oncle, l'autre le neveu. Ensemble, en 1943, ils ont signé les paroles de l'hymne de la Résistance, Le Chant des partisans.Leurs liens familiaux, d'abord tenus secrets, cimentent une relation très forte, marquée par la tendresse et la fidélité. Mais aussi par la même passion : écrire.J'ai aimé faire revivre ces deux légendes : l'étincelant Kessel du Lion et des Cavaliers, et le lionceau Druon, son presque-fils, auteur à panache des Rois maudits.Entre eux s'est glissée une femme au parcours non moins romanesque : Germaine Sablon, chanteuse et combattante, figure indissociable de leurs destins entrecroisés.D. B.
In 1978, MIT developed a system that enabled users to experience a virtual tour of Aspen, Colorado. Today, travel is no longer restricted to a physical, pre-existing destination. With the Metaverse, the possibilities are endless as new worlds are created every day. The Metaverse represents the future of travel, and while the medium is expanding and improving, this title offers a unique immersion into this groundbreaking frontier through a curation of visuals related to and inspired by the Metaverse, ranging from fashion to architecture, from hardware to conceptual design-a glimpse of what is to come.
With this title, the definition of travel is expanding to explore destinations of the future in signature Assouline style, placing more abstract interpretations in conversation with more literal representations of the Metaverse to create a unique visual portrait of this new space.
To coincide with the launch of this new Travel volume, Assouline is delighted to announce an exclusive pop-up boutique in the Metaverse, opening in February 2023 and accessible through the year. As a unique feature to this book, readers will be able to scan a QR code located on the colorful cover and be directed to the Assouline storefront in Decentraland. The experience will be reflective of an in-person Assouline store with key elements including the brands signature red walls, grandiose bookstands and specialty objects. Visitors will be able to discover Assouline's titles and will be forwarded to the Assouline website for purchase if interested. Within this space, guests will also have the opportunity to be redirected to FastEx Verse and have access to an exclusive bonus experience. Designed as a Metaverse Museum, this virtual encounter will display educational content, artwork from the book as well as additional Metaverse imagery. Assouline is delighted to share this unique interaction with customers worldwide.
Ce volume propose la «trilogie du travail» formée par En un combat douteux (1936), Des souris et des hommes (1937) et Les Raisins de la colère (1939), ainsi qu'À l'est d'Éden (1952), roman de la maturité. Le fil conducteur des trois premiers livres, c'est la réaction de l'individu à la pression du groupe. En un combat douteux, qui prône l'action collective, revêt une dimension épique. Des souris et des hommes traduit, par la simplicité de son intrigue et ses ressorts dramatiques, la dimension tragique d'une humanité abandonnée à la fragilité de ses rêves. Les Raisins de la colère, grand roman de la route, entremêle le destin de la famille Joad et des chapitres «collectifs» qui élargissent la perspective à l'ensemble du «peuple». À l'est d'Éden enfin donne corps à l'imaginaire familial de Steinbeck et illustre la faculté de l'homme à choisir son destin. S'y mêlent souvenirs intimes et éléments allégoriques et historiques ; le bien et le mal s'y livrent une lutte placée sous le signe de Caïn.En s'inspirant de thèmes et de fi gures bibliques, Steinbeck participe à l'écriture du mythe américain, y compris dans ses aspects les plus désespérés. Marqués au fer rouge par la Grande Dépression, ses personnages, laissés-pour-compte du rêve américain, sont des victimes de la modernité en marche. Dans des dialogues d'une grande virtuosité, le romancier fait entendre la crudité de leur langue (ce qui choqua ses contemporains) et leur confère une présence véritablement poétique. Quant aux analyses écologiques, économiques et sociales qui sous-tendent ses livres, elles demeurent troublantes d'actualité.
Claire enseigne à L'Embellie, établissement associatif où l'on tente de mettre sur les rails de la vie active des jeunes gens en grande difficulté. Elle s'épanouit au contact de ces élèves sans filtres, dont le coeur est l'organe dominant. Elle a cela en commun avec eux. Et c'est ainsi qu'à la rentrée 2018, avec l'arrivée dans sa classe du jeune Gabriel Noblet, Claire "tombe dans une histoire" aux conséquences irréparables. Sur les ravages du soupçon et les injustices du silence, "Deux innocents" explore les moindres faux-plis du malentendu et de la fatalité. Avec une précision magistrale et une efficience narrative redoutable, Alice Ferney signe le grand roman moderne du déni de tendresse.
A treasure trove of glitz and glamour awaits on an exclusive two-mile coastline alongt he Mediterranean Sea. High-rollers, professional athletes and international stars flock to Monaco in droves. Although packed with flashy sports cars, luxury apartments, super-yachts and unlimited entertainment, this rocky promontory does not lack for culture and history. The sovereign family ensures that the principality's distinguished heritage is preserved and appreciated. And its over-the-top opulence is merely equal to its charm. The newly designed Foster + Partners Yacht Club de Monaco stands in stark contrast to the monumental baroque building housing the Musée Océanographique de Monaco. The Nouveau Musée National de Monaco, which showcases the latest in contemporary art, isa complete 180 compared to the Prince's Palace of Monaco, which dates to the twelfth century. Yet it all exists harmoniously within two hundred hectares of land.
The list of Monaco regulars reads like the guest list to the ultimate private party: Charles Leclerc, Grace Kelly, Sir Roger Moore, Tyra Banks, Frank Sinatra, Rudolf Nureyev, Bjorn Borg and Ringo Starr, to name a few. Whether enticed by the top-tier competitions (Monaco Grand Prix, Rolex Monte-Carlo Masters), can't-miss events (Ballets de Monte-Carlo, Monaco National Day), iconic Société des Bains de Mer properties (Monte Carlo Casino, Hôtel de Paris Monte Carlo, Monte-Carlo Beach) or Michelin-star restaurants (LeLouis XV, Rampoldi, Pavyllon Monte-Carlo), the world's celebrities continue to return again and again. With exclusive images from the palace archives and a foreword by Prince Albert II of Monaco, Monte Carlo offers readers a front-row seat with VIP access to the jewel of the French Riviera.
«Dans ces pages, je réunis des histoires extrêmes de parents et d'enfants. J'en suis à moitié étranger : n'étant pas père, je suis resté nécessairement fils.» Autour de ce sujet très personnel de la filiation, devenu avec le temps un motif récurrent de son oeuvre littéraire, Erri De Luca compose un thème et des variations pleins de finesse. On y croise de jeunes vagabonds napolitains, la fille d'un nazi en cavale, la jeunesse révoltée de Mai 68 ou encore le directeur d'un orphelinat de Varsovie.Erri De Luca mêle dans ces récits l'intime à l'universel, et pose un regard riche et même poétique sur les rapports entre parents et enfants.
«Depuis quelques années, derrière les bruits de la ville, à condition de bien se concentrer, on pouvait entendre, de jour comme de nuit, certains bruits qui ne trompaient pas : craquements d'une mâchoire à l'oeuvre, succion d'une bouche qui avale, flatulences d'une digestion demandant grâce... À l'évidence, dans notre pays, quelqu'un mangeait. Oui, quelqu'un dévorait même, sans répit, ni repos. Et personne ne semblait s'en émouvoir ! Il aurait pourtant suffi de jeter un coup d'oeil dans les poubelles : on y aurait vu les reliefs de ce repas perpétuel : ici, le souvenir d'une radio, jadis indépendante ; là, les restes d'une maison d'édition légendaire.Les bruits se rapprochant, votre narrateur décida de mener l'enquête. Quel était donc cet ogre revenu du fond des âges pour se repaître du royaume de France ?»
« Cet hier qui ne m'appartient pas me manque parfois comme s'il était le mien. Il est vrai que je suis une nostalgique de la nostalgie. C'est un spleen qui me vient depuis la nuit des temps, peut-être inscrit dans mes gènes.Ma gorge se noue et les larmes affleurent quand j'entends de la musique arabe, du flamenco, du fado, du rebetiko, du kletzmer. Je regrette les lieux où je n'ai pas vécu, les époques où je n'étais pas née, les pays que je ne verrais pas, ceux où je ne reviendrai plus, les bons moments qui s'enfuient, tous ces mondes révolus que je ne connais que par le cinéma, par mes lectures ou par les souvenirs que j'emprunte.Toutes ces villes aussi d'où les Juifs ont presque disparu, Alexandrie, Berlin, Istanbul, Cracovie, Odessa, Bagdad, Saint-Pétersbourg, Vienne...Et Tunis avant notre départ. » Dans ce récit puissant et mélancolique, Michèle Fitoussi dresse un portrait magnifique de ceux qu'elle appelle sa « famille de Pantin ». Oncle Pap, Tante Pim, Sarah, Albert et les autres, parents, cousins ou grands-parents de l'autrice, revivent leurs destins d'exilés sous sa plume tendre. À travers eux, c'est l'histoire de tous les Juifs de Tunisie qui est convoquée, afin que demeure, toujours, une trace de leur passage.
Si tu te demandes ce que nous faisons ainsi, loin des hommes, je vais te dire : nous veillons sur notre petit univers, nous veillons les unes sur les autres. C'est ce que font les femmes du bout du monde. À la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, dans la région isolée des Catlins, au coeur d'une nature sauvage, vivent Autumn et sa fille Milly. Sur ce dernier bastion de terre avant l'océan Austral et le pôle Sud, elles gèrent le camping Mutunga o te ao, le bout du monde en maori. Autumn et Milly forment un duo inséparable, jusqu'au jour où débarque Flore, une jeune parisienne en quête de rédemption... Hantées par le passé mais bercées par les vents et les légendes maories, ces trois femmes apprendront à se connaître, se pardonner et s'aimer. Mélissa Da Costa nous offre un voyage inoubliable à travers des paysages d'une stupéfiante beauté, aux côtés de personnages inspirés et inspirants. Un nouveau roman magistral et une ode à la liberté.
Fille d'immigrants coréens, Casey Han a été élevée dans le Queens dans le respect des traditions et des valeurs de ses parents. Propriétaires d'un pressing, ils ont travaillé dur pour payer les meilleures études à leur fille et lui permettre une belle carrière professionnelle. Mais à 22 ans, diplômée de Princeton, Casey a pris les goûts de luxe et les manières de ses camarades. Elle est déterminée à entrer dans ce monde étincelant de privilèges, de pouvoir et de richesse, mais à quel prix ?
Habiter trois villes différentes ? Posséder trois identités reconnues ? Aimer trois femmes intensément ?
Avoir trois vies par semaine.
Pour tirer les fils de ce nouveau suspense qui mêle les thèmes de l'exil, la vengeance, la multiplicité d'une vie... l'unique Michel Bussi.
Un mort.
Deux disparus.
Trois femmes amoureuses.
Un corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse, au coeur des Ardennes. Accident, suicide, meurtre ?
La révélation de l'identité de la victime plonge la capitaine Katel Marelle dans la sidération.
Renaud Duval menait-il... trois vies par semaine ?
Trois femmes attendent son retour. Chacune revendique d'être son unique amour.
Ensemble, elles vont tenter de percer l'énigme d'une impossible triple vie...
Mais comme dans un théâtre d'illusions, des ombres rôdent, prêtes à se venger.
Qui sait la vérité ? Qui manipule ? Qui tire les ficelles ?
Méfiez-vous des fils invisibles...
Une intrigue vertigineuse pour un grand suspense de Michel Bussi.
« J'avais envie d'amour. Envie d'une grande nuit d'amour. D'une rencontre. De ce moment étrange, poétique parfois, qui change le cours de l'eau d'une vie.
Je voulais comprendre jusqu'où l'on peut aimer, jusqu'où l'on peut aller vers l'autre et ressentir que chaque pas est un choix. Je rêvais d'entendre à nouveau quelques airs d'opéra, des arias de douleur et de beauté, et retrouver ces hommes et femmes capables de se jeter dans le vide par amour. Parce que c'est vivre sans amour qui est l'enfer. » G.D.
Elle s'appelle Aurore. Et pourtant c'est au crépuscule qu'elle rencontre Simeone, un soir d'automne, à Paris, aux abords du local d'un groupe de parole. Elle quitte une réunion, lui arrive pour la suivante. Il attend, l'observe, intrigué, mais c'est elle qui s'adresse à lui. Le temps d'une cigarette, la conversation s'engage.
Après trente ans d'amour fou, Aurore sait qu'elle va être quittée par son mari. Simeone a la gorge mangée par un crabe, il lui reste peu de temps à vivre, il refuse de lutter et sa femme a peur. Alors les deux inconnus s'avancent ensemble dans une nuit qui ne ressemblera à nulle autre, des rues de Paris à un bar de nuit, d'une chambre d'hôtel à un aller-retour en taxi vers Roissy et une évasion vers les rivages de l'aube. Première ou dernière nuit, tous deux l'ignorent. Ils ne sont sûrs que d'une chose : au matin, après cette bouleversante nuit d'amour, rien ne sera plus jamais comme avant. Car l'amour ne s'écrit jamais à l'avance.
Romanesque, poétique, fulgurant : un magnifique roman d'amour.
C'est l'histoire de deux juifs dans un avion vide. C'est aussi celle d'un homme qui quitte la France, à la recherche de sa terre promise et ne la trouve pas. On y croise un metteur en scène qui n'a plus rien à perdre, une comédienne armée d'un revolver, un polémiste juif d'extrême droite, un vétérinaire, un chien, un Joann Sfar, sans oublier le roi David et la Shulamite. Dans ce récit de pure fiction, chacun cherche sa place, même Dieu. Lorsqu'on a des mauvaises idées, il faut parfois s'y accrocher obstinément, surtout quand c'est tout ce qu'il nous reste. « Nous ne sommes pas éloignés de Dieu, il habite loin, c'est tout. »
Que savons-nous des plans échafaudés par nos partenaires et adversaires ? La guerre en Ukraine nous a brutalement rappelé qu'une décision prise par un chef d'État a un impact sur le sort de millions de personnes. Pour rompre avec une vision du monde souvent nombriliste, la France doit mieux comprendre les ambitions des autres grandes puissances. C'est l'objectif de cet essai inédit et stimulant.
Quelle importance accorder à la foi religieuse dans les stratégies conduites par la Turquie d'Erdogan, l'Iran de Khamenei et l'Arabie saoudite de MBS ? De quelle manière les orientations prises par l'Allemagne de Scholz, la Russie de Poutine et la Chine de Xi Jinping reconfigurent-elles l'Eurasie ? Le Royaume-Uni et les États-Unis se définissent désormais comme des «démocraties maritimes ». Qu'en est-il de l'Inde ?
Combinant temps long et ruptures récentes, Thomas Gomart nous invite à regarder «d'en haut» neuf grandes stratégies. Pour concevoir sa propre vision, Paris doit intégrer celle des pays avec lesquels elle entretient des relations cruciales tout en considérant le contexte global : réchauffement climatique, crise énergétique, conflits, innovations technologiques ou encore flux économiques et numériques. Au regard des transformations à l'oeuvre, il y a urgence pour la France à repenser sa stratégie pour les décennies à venir si elle veut encore compter dans le monde.
Paris, 1967. À l'aube de la cinquantaine, Menie, mère de famille bourgeoise, est recrutée par la radio RTL qui a décidé de renouveler ses programmes. Son rôle ? Faire parler les auditrices.
En quelques semaines, c'est la déferlante. Les femmes de la France entière se confient à « la dame de coeur ». Bientôt, à l'heure de la sieste, elles seront des millions à suivre l'émission avec passion. Parmi elles, Mireille et sa soeur Suzanne, qui découvrent qu'elles aussi pourraient maîtriser leur destin.
Quant à la vie de Menie, partagée entre le tourbillon d'une société libérée par Mai 68 et les tourments qu'on lui livre, elle en est totalement bouleversée.
Cinquante ans plus tard, Esther, une documentariste qui peine à se reconstruire, va replonger dans ces années pas si lointaines où le sort des Françaises semble d'un autre âge.
Avec ce nouveau roman porté par la figure de Menie Grégoire, sa grand-mère, Adèle Bréau unit les destinées de femmes qui, malgré leurs différences, se tendent la main. Amour, maternité, droits, sororité... l'auteure explore sur cinq décennies les avancées, paradoxes et régressions de la condition féminine, les mettant en résonance dans une fresque résolument romanesque.
« On ne pouvait pas évidemment, chez RTL, passer à côté du livre d'Adèle Bréau, qui signe, j'insiste, bien plus qu'une biographie, un portrait de sa grand-mère Menie Grégoire, c'est un roman au sens plein du terme avec une belle galerie de personnages et des passerelles narratives entre les années Menie et aujourd'hui. » Bernant Lehut, RTL « A travers quatre héroïnes inspirantes d'hier et d'aujourd'hui, l'auteure, petite-fille de Menie Grégoire, continue d'explorer les liens de sororité dans ce très beau roman sur les combats de femmes. Passionnant de bout en bout. » Version Femina « Épatant. » Le Parisien « Le portrait d'une journaliste et d'une époque libératrices. » Point de Vue « Un roman touchant et d'actualité. » ELLE « Un roman passionnant. » Gala « Une fiction attachante qui interroge la place des femmes dans la société. » Marie Claire « Vibrant de fougue et de sensibilité. » Paris Match « Un formidable roman à lire et à faire lire ! » Télé Z « Un roman qui fait la part belle à la solidarité intergénérationnelle. » Livres Hebdo
Le kaddish est l'une des prières de deuil que les juifs récitent plusieurs fois par jour. Il a pour objet, non pas la mort, mais le futur et la sanctification du nom divin. Il n'existe pas de kaddish pour l'amour - alors une femme l'écrit pour l'homme dont elle est séparée.Dans Kaddish pour un amour, celle qui aime cherche l'aimé dans l'absolu de sa présence. La langue est ciselée, épurée, témoin de la fragilité du sentiment amoureux.Ce splendide recueil, habité par un souffle mystique, renoue avec une tradition poétique hébraïque trois fois millénaire et offre une prière universelle pour le retour de l'être aimé.
Un commissaire du Reich se dresse face à l'hydre nazie.
Berlin 1943. Après la défaite de Stalingrad, le régime nazi a décrété la guerre totale et s'est engagé dans une logique de répression sans bornes. Dans cette atmosphère délétère, Gerhard Lenz, commissaire à la Kriminal Polizei, ne doit son maintien au sein de la « Kripo » qu'à ses distinctions obtenues lors de la Première Guerre mondiale et à ses états de service d'avant l'avènement du nazisme.
Mais, de fragile, sa position devient intenable quand Flora, la jeune Juive qu'il aime, lui annonce qu'elle attend un enfant de lui.
Occupé à assurer la clandestinité de la jeune femme, il est amené à enquêter sur l'assassinat d'un psychiatre membre du NSDAP retrouvé chez lui dans une mise en scène ritualisée. Ce sera l'occasion pour lui de découvrir l'ampleur du programme d'euthanasie de masse gardé secret par les autorités et de mettre à l'épreuve son courage dont jusqu'alors il se considérait dépourvu face au nazisme.
Car, au fil de cette enquête qui le conduira dans le dédale des administrations de la mort et sur les traces des clandestins survivant encore à Berlin, il finira par éprouver de la sympathie pour l'assassin, une faiblesse qui pourrait causer sa propre perte. Surtout après la découverte d'un deuxième assassinat, manifestement perpétré par le même auteur. S'engage alors une course contre la montre qui pourrait non seulement lui coûter la vie, mais également celle de ceux qu'il aime.
Après l'immense succès du Grand Monde Un ogre de béton, une vilaine chute dans l'escalier, le Salon des arts ménagers, une grossesse problématique, la miraculée du Charleville-Paris, la propreté des Françaises, « Savons du Levant, Savons des Gagnants », les lapins du laboratoire Delaveau, vingt mille francs de la main à la main, une affaire judiciaire relancée, la mort d'un village, le mystérieux professeur Keller, un boxeur amoureux, les nécessités du progrès, le chat Joseph, l'inexorable montée des eaux, une vendeuse aux yeux gris, la confession de l'ingénieur Destouches, un accident de voiture. Et trois histoires d'amour.
Un roman virtuose de Pierre Lemaitre
Après Le droit d'emmerder Dieu, éloge du droit au blasphème, Richard Malka revient sur l'origine profonde d'une guerre millénaire au sein de l'Islam : la controverse brûlante sur la nature du Coran.
Plus qu'une plaidoirie, ces pages mûries pendant des années questionnent ce qu'il est advenu de l'Islam entre le VIIème et le XIème siècle, déchiré entre raison et soumission.
Les radicaux ont gagné, effectuant un tri dans le Coran et les paroles du Prophète, oppressant leurs ennemis - au premier rang desquels les musulmans modérés, les musiciens, artistes, philosophes, libres penseurs, les femmes et minorités sexuelles.
Plonger avec passion dans cette cassure au sein d'une religion n'est pas être « islamophobe », c'est regarder l'histoire en face.
Traité sur l'intolérance est une méditation puissante, un appel aux islamologues du savoir et de la nuance - pour qu'enfin chacun sache, comprenne, échange, s'exprime.
« Le mauvais goût échappe à toute définition, famille ou clan. Tout comme le bon goût, il est relatif, circonstanciel, ancré dans son temps.
Il peut également être une frontière sociale, un racisme de classe. En ce cas, le mauvais goût c'est celui de l'autre, celui qu'on n'a pas et qu'on se défend d'avoir au risque de trahir les siens.
Enfin il y a le mauvais goût patenté, revendiqué, qui n'est pas une attitude, une mode, mais une profession de foi artistique, un manifeste esthétique. C'est -sans doute- ce qu'on pourrait appeler le kitsch. C'est-à-dire un style en soi, des formes volontaires, pensées, destinées à déranger la norme.
Ce livre sera donc, par essence, partial. Avec le mauvais goût, j'entre dans une zone marécageuse. Est-il possible de faire un livre plus intime, plus narcissique, puisqu'il explore la part d'ombre de ma propre sensibilité ?
Petit enfant sous Giscard, adolescent sous Mitterrand, j'ai pris racine dans des époques aux esthétiques très contrastées qui seront forcément présentes dans ces pages. Souvenirs intimes, émissions de télévision, films, livres, plats, commerces, personnages imaginaires ou pas, attitudes de tous poils, mon mauvais goût est une auberge qui n'a rien d'espagnole mais tout d'un grenier. Un grenier braillard et cocasse, que j'ai moi-même tenté de ranger pour les besoins de la cause.
Le mauvais goût ne se partage pas, en ce qu'il est une exploration de nos propres frontières esthétiques, la ligne de crête entre ce que l'on goûte et ce que l'on recrache.
Bienvenue dans mon train fantôme ! »
«Je ne savais pas que les enfants avaient failli se faire tuer dans le volume précédent.Quand j'ai appris que c'était Pépère qui avait fait le coup, j'ai pigé un truc : qui ne connaît pas Pépère ne sait pas de quoi l'être humain est capable.»Benjamin Malaussène
Ginette Kolinka, qui va fêter ses 98 ans, habite le même appartement depuis qu'elle a dix ans.
Elle a toujours vécu là, rue Jean-Pierre Timbaud, au coeur de Paris, à l'exception de trois ans : de 1942 à 1945.
Cet appartement, c'est sa vie qui défile devant nos yeux. Il y a les portraits de ceux qui ne sont pas revenus de Birkenau : son père, son petit frère, son neveu.
Les disques d'or de son fils unique, Richard, batteur du groupe Téléphone.
Les photos de ses cinq soeurs, Ginette est la cadette, des petits-enfants, des arrière-petits-enfants.
Les dessins des écoliers, à qui elle raconte désormais son histoire, tous les jours, aux quatre coins de la France.
Et même les meubles qu'ont laissés les « collabos ».
Ginette nous fait la visite.
On traverse le temps : l'atelier de confection de son père, la guerre, ce mari adorable et blagueur. Les marchés, qui l'ont sauvée. Et les camps qui affleurent à chaque page, à chaque pas.
Mais Ginette, c'est la vie ! Le grand présent. « On me demande pourquoi je souris tout le temps, mais parce que j'ai tout pour être heureuse ! »
Et s'il était temps pour vous de rencontrer enfin le grand amour ? Constance, avocate brillante, a obtenu le poste qu'elle convoitait dans un cabinet d'élite. Pourtant, à l'approche de la quarantaine, elle se sent fragile et peu sûre d'elle. Très amoureuse de Lucas, elle attend que celui-ci quitte sa femme comme il le lui a promis. Alors qu'elle vient de signer son contrat, Constance découvre qu'elle doit effectuer une période d'essai d'un genre... peu conventionnel ! Soutenue par ses amis, elle accepte de s'écarter dangereusement de sa zone de confort. Une expérience qui bouleversera sa vision d'elle-même et de l'amour. Une nouvelle fois, Maud Ankaoua nous entraîne dans un univers captivant et émouvant dont on ressort grandi. Elle nous livre avec générosité, inspiration et conviction les clés de l'amour vrai, celui qui rend profondément heureux. Quand un homme marche vers son destin, il est bien souvent forcé de changer de direction.
Paulo Coelho Après ses deux best-sellers Kilomètre Zéro et Respire ! Maud Ankaoua signe un troisième roman empreint d'humanité et de sagesse. Dans Plus jamais sans moi, elle met en lumière nos automatismes fondés sur la peur, qui sabotent notre capacité à aimer. On y découvre le chemin libératoire pour retrouver un état de liberté et de joie durable. Pour offrir Plus jamais sans moi en avant-première : Commandez et réglez le livre chez votre libraire ou sur les plateformes en ligne Remettez ensuite le bon cadeau à l'intéressé Lien pour télécharger le bon cadeau : https://fr.calameo.com/read/0053223624cb5e4b54c4c