C'est une histoire de fous. La crise climatique menace de dislocation les sociétés humaines et les écosystèmes, mais on ne fait rien. Si. D'innombrables conférences mises en scène, au cours desquelles on s'embrasse en jetant des confetti. La science a parlé, et il faut réduire massivement nos émissions de gaz à effet de serre, mais on les augmente chaque année. Ce livre raconte pour la première fois les raisons de ce qu'il faut appeler un sabotage. Par les transnationales, mais aussi par l'ONU, dont les responsables du dossier ont partie liée avec les industries les plus destructrices du climat.
Après le succès et la mobilisation massive qui ont suivi la parution de Nous voulons des coquelicots (plus de 35.000 exemplaires), Fabrice Nicolino commet ici un véritable livre-enquête dans les arcanesdes lobbyes de l'industrie des pesticides. Un ouvrage aussi révoltant que fascinant qui se lit comme un polar !
Sous la forme d'une lettre ouverte adressée à Raymond, un paysan fictif qui serait né en 1924, Fabrice Nicolino, à sa manière concise et directe, déroule une argumentation implacable sur le thème « Une autre histoire de l'agriculture était possible ». En retraçant à grands traits les événements et les décisions qui en moins d'un siècle ont provoqué la mort de la paysannerie et ont mené à un épuisement des sols et à une mise en péril inquiétante de la biodiversité, l'auteur de «Bidoche» invite à réfléchir aux pistes qui éviteraient de reproduire les erreurs du passé. Car malgré son constat accablant, il reste convaincu que d'autres voies sont possibles pour l'agriculture.
Après avoir fustigé notre système agricole mondialisé dans «Lettre à un paysan sur le vaste merdier qu'est devenue l'agriculture» (Babel n° 1498), Fabrice Nicolino s'adresse cette fois à une petite fille, pour qui il retrace à grands traits l'histoire de l'alimentation humaine. Et montre comment, en à peine deux siècles, nous avons accepté de donner les pleins pouvoirs à une industrie agroalimentaire uniquement préoccupée de ses profits financiers - au mépris de notre santé et de la planète.
Comment des animaux sont-ils devenus des morceaux, des choses, des marchandises ? Pourquoi des techniciens inventent-ils dans le plus grand secret des méthodes pour "fabriquer" de la "matière" à partir d'êtres vivants et sensibles ? Comment peut-on accepter la barbarie de l'élevage industriel ? Pourquoi laisse-t-on la consommation effrénée de ce produit plein d'antibiotiques et d'hormones menacer la santé humaine, détruire les forêts tropicales, aggraver la famine et la crise climatique ? L'industrie de la viande menace le monde, et personne ne semble s'en préoccuper.
En s'appuyant sur de nombreuses études ainsi que sur les témoignages d'éleveurs, d'ouvriers d'abattoirs ou de responsables de grandes firmes internationales, Fabrice Nicolino détaille le fonctionnement de cet univers mal connu et dresse un bilan alarmant. Une enquête coup de poing qui fera considérer d'un autre oeil le poulet rôti ou le rosbif du dimanche midi !
Face à l'urgence politico-climatique, Fabrice Nicolino s'insurge. Prônant à la fois des actions concrètes et un changement de regard sur nos sociétés et leurs écosystèmes, il rappelle le caractère impératif d'une sortie de la culture capitaliste - qui menace directement l'existence de l'homme. Un véritable virage anthropologique est indispensable. Peut-on inverser le courant si puissant de la destruction du monde ? Oui. Mais il faut rompre avec l'ancien. Mais il faut des idées neuves. Les voici.
Comment et pourquoi l'industrie chimique a-t-elle pu libérer dans l'eau, dans l'air, dans le sol, dans les aliments et jusque dans le sang des nouveau-nés plus de 70 millions de molécules chimiques ? Pourquoi des maladies comme le cancer, l'obésité, le diabète, Alzheimer, Parkinson, l'asthme et même l'autisme augmentent-elles toutes en même temps ? Que contient vraiment l'eau dite potable ? Comment les transnationales ont-elles organisé une désinformation planétaire sur cet empoisonnement universel ? Peut-on y échapper ? Une enquête redoutable sur l'invasion effrayante des produits chimiques dans notre quotidien et notre environnement.
Un pamphlet vif et brillant par l'auteur de Bidoche et Pesticides, révélations sur un scandale français, contre cette nouvelle écologie douce c'est-à-dire molle et sirupeuse inaugurée par le Grenelle de l'environnement. Eteindre l'électricité derrière soi, fermer le robinet, trier ses poubelles, voici le manuel du petit écologiste parfait et pendant ce temps là, les pollutions chimiques continuent, la crise climatique s'aggrave.
Les écologistes sont-ils toujours irréprochables ? Avec ce livre choc, Fabrice Nicolino, écologiste convaincu, dévoile les dessous des grandes organisations de protection de l'environnement (comme WWF) qui travaillent main dans la main depuis des années avec les multinationales les plus nocives pour la planète.
Les biocarburants sont une formidable trouvaille, mais pour qui ? Dans le monde entier, usines et raffineries poussent comme des champignons après la pluie. Le blé, le colza, le tournesol chez nous, le palmier à huile, la canne à sucre, le soja ou le maïs dans les pays du Sud servent désormais à remplacer le pétrole. De fabuleux végétaux, utilisés depuis les débuts de l'agriculture pour nourrir les hommes, remplissent aujourd'hui les réservoirs des bagnoles et des camions.
Fabrice Nicolino a décidé d'écrire sur le sujet un pamphlet, d'envoyer un coup de poing à ceux qui prétendent que ce bouleversement est une bonne nouvelle, mais aussi aux naïfs qui croient le discours officiel sur ces nouveaux carburants présentés comme «écologiques ». Car la réalité est aux antipodes.
En France, le lobby de l'agriculture industrielle, activement soutenu par l'État, cherche depuis la réforme européenne de 1992 de nouveaux débouchés pour ses productions de masse. Le boom des biocarburants relance aussi la machine à engrais et à pesticides, et il détruira bientôt ces réservoirs de biodiversité imposés que sont les « jachères ».
Ailleurs dans le monde, c'est bien pire. De l'Indonésie au Brésil, en passant par le Cameroun, les rares forêts tropicales intactes sont dévastées pour laisser la place à ces nouvelles cultures. La demande indécente du Nord, qui veut continuer à rouler en bagnole quoi qu'il en coûte, fait exploser le prix de certains produits de base : dans un monde qui compte près d'un milliard d'affamés permanents, le système industriel préfère donc l'automobile au droit pourtant imprescriptible de manger à sa faim.
Et le comble, c'est que les biocarburants ne sont nullement écologiques. Ils contribuent et contribueront toujours plus au dérèglement climatique, comme le montrent de très nombreuses études.
Ce petit livre dévoile une mystification totale. Et dénonce ses profiteurs, plus nombreux qu'on croit. Car derrière l'automobile individuelle, il y a nous.
Le blé, le colza, le tournesol chez nous ; le palmier à huile, la canne à sucre, le soja ou le maïs dans les pays du Sud servent désormais à remplacer le pétrole. Des végétaux utilisés depuis les débuts de l'agriculture pour nourrir les hommes remplissent aujourd'hui les réservoirs des voitures et des camions.
On a souvent présenté ces nouveaux carburants comme « écologiques », destinés à remplacer des énergies fossiles limitées et en voie d'extinction. Or la réalité est autre.
Le boom des biocarburants relance la machine à engrais et à pesticides, et il détruira bientôt ces réservoirs de biodiversité que sont les « jachères ».
De l'Indonésie au Brésil, en passant par le Cameroun, les rares forêts tropicales intactes sont dévastées pour laisser la place à ces nouvelles cultures, accroissant ainsi le réchauffement climatique. Le renchérissement des matières premières agricoles provoqué par les biocarburants a déjà engendré des disettes. Dans un monde qui compte plus d'un milliard d'affamés permanents, consacrer une part toujours croissante des terres agricoles à ces biocarburants est un non-sens et un crime.
Ouvrage paru en première édition sous le titre La Faim, la bagnole, le blé et nous.
Frédéric Tran, ancien journaliste, rumine ses défaites au fond d'un verre quand un avocat lui demande d'enquêter sur une étrange affaire : l'explosion inexpliquée d'un immeuble dans le Sud de la France, quelques années plus tôt, qui a fait plus de dix victimes mais pas vraiment l'objet d'investigations sérieuses...
Spécialiste des petits arrangements du pouvoir politique et suspicieux par nature, Tran accepte, fataliste, histoire de prendre l'air et de rendre service. Mais dévider la bobine de la vérité n'est pas sans danger.
Secousses, répliques, souffles et bris de verre vont jalonner son voyage. Il a mis le doigt dans l'engrenage du secret où s'affrontent les intérêts de la justice, du pouvoir et de l'argent. Pour se sauver, il va devoir accepter, entre les bras fougueux d'une femme, de se libérer de ses propres démons...
Vingt-deux ans après Jours sang, Fabrice Nicolino, enquêteur passionné par les grandes questions d'actualité, renoue avec le polar pour révéler, entre les lignes, des expériences de terrain. Son écriture nouée aux tripes, pleine d'humour, désabusée mais non désespérée, confère à ce texte une humanité franche, riche et aimable, au sens propre du terme.
Je crois savoir ce que manger veut dire.
Mais je dois ajouter que, chemin faisant, j'ai changé d'avis et de goût. Derrière une côte de boeuf, j'ai fini par voir un boeuf. Derrière un gigot, un agneau. Derrière un jambon, un cochon... On peut parler d'un choc, immense et lent. L'histoire que je vais vous raconter est une formidable aventure aux conséquences inouïes. Où rien n'était inévitable. Comment des animaux sont-ils devenus des morceaux, des choses, des marchandises ? Pourquoi des techniciens inventent-ils chaque jour, en notre nom, de nouvelles méthodes pour " fabriquer " de la " matière " à partir d'êtres vivants et sensibles ? Pourquoi leurs laboratoires sont-ils aussi anonymes que secrets ? Pourquoi l'industrie de la bidoche est-elle dotée d'une puissance qui cloue le bec de ses rares critiques ? A la suite de quelle rupture mentale a-t-on accepté la barbarie de l'élevage industriel ? Pour quelle raison folle laisse-t-on la consommation effrénée de ce produit plein d'antibiotiques et d'hormones menacer la santé humaine, détruire les forêts tropicales, aggraver la famine et dans des proportions étonnantes la si grave crise climatique ? Qui est responsable ? Et y a-t-il des coupables ? La réponse n'a rien d'évident, mais elle existe, dans les deux cas.
Ce livre vous convie à une plongée dont vous ne sortirez pas indemne. A la condition de le lire pour de vrai, vous ferez ensuite partie d'une tribu en expansion, mais qui demeure on ne peut plus minoritaire. La tribu de ceux qui savent.
La France est un grand pays sauvage qui s'ignore. Fort de cette conviction, Fabrice Nicolino, écologiste et marcheur, emmène les enfants dans un grand tour de France des sites sauvages. En douze étapes coups de coeur, il partage avec eux ses émotions et ses découvertes, leur raconte les paysages et leur extraordinaire diversité, évoque ses rencontres avec la vie sauvage : plantes, fleurs, insectes, animaux... Douze illustrateurs différents se sont rendus sur place pour mettre en images cette échappée belle à la façon d'un carnet de voyage -Transmettre la richesse et la beauté de ce patrimoine aux enfants
Amis de longue date, Pierre Rabhi, Fabrice Nicolino et Bernard Chevilliat souhaitaient depuis longtemps confronter leurs visions.
Ils avaient entrepris de le faire en octobre 2021. Pierre Rabhi a quitté ce monde le 4 décembre 2021 avant que la rédaction de cet ouvrage ne soit achevée. Mais la matière était déjà là, fruit d'heures d'échanges enregistrées et d'une longue cohabitation amicale sans compromission.
Pierre Rabhi, philosophe et chantre de l'agroécologie natif du Sahara, Fabrice Nicolino, journaliste et activiste (« Nous voulons des coquelicots ») venu du « sous-prolétariat de la banlieue » et ayant survécu à deux attentats (dont celui de Charlie Hebdo), et Bernard Chevilliat, biologiste franco-anglais ardéchois d'adoption et fondateur de l'entreprise de cosmétique bio Melvita et de la revue Ultreïa !, ont en effet des parcours de vie singuliers mais ils ont tous trois oeuvré, chacun dans leur sphère et à leur niveau, à l'émergence d'une société plus écologique et plus humaine.
Ils reviennent ici à bâtons rompus sur leurs trajectoires de vie, les prémisses philosophiques et métaphysiques de leurs démarches, leurs visions de l'avenir ou encore les propos polémiques qui ont pu blesser l'agroécologiste humaniste au terme de sa vie.
Un ouvrage testamentaire pour Pierre Rabhi et un livre d'espérance pour ses deux amis.
Un manifeste événement ! Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l'eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs et l'estomac des abeilles, dans le cordon ombilical des nouveau-nés, dans le nid des oiseaux, dans le lait des mères, dans les pommes et les cerises. Les pesticides sont une tragédie pour la santé. Ils provoquent des cancers, des maladies de Parkinson, des troubles moteurs ou cérébraux chez les enfants, des infertilités, des malformations à la naissance. L'exposition aux pesticides est sous-estimée par un système devenu fou, qui préfère la fuite en avant. Quand un pesticide est interdit, dix autres prennent sa place. Il y en a des milliers. Nous ne reconnaissons plus notre pays. La nature y est défigurée. Le tiers des oiseaux ont disparu en quinze ans ; la moitié des papillons en vingt ans ; les abeilles et les pollinisateurs meurent par milliards ; les grenouilles et les sauterelles semblent comme évanouies ; les fleurs sauvages deviennent rares. Rendez-nous nos coquelicots et nos bleuets ! Rendez-nous la beauté du monde ! Non, nous ne voulons plus. À aucun prix. Nous exigeons protection. Nous exigeons de nos gouvernants l'interdiction de tous les pesticides en France. Pas demain. Maintenant. Assez de discours, des actes.
"Du vent !".
Nouvelles du monde qui vient et images de demain.
Chronique d'un lieu ouvert sur le monde, récit de lutte, invitation au rêve, histoires d'ailleurs... Chaque texte fait entendre la voix singulière de son auteur, répondant à tous les autres. Chacun à sa manière vibre de l'écho du même désir, et de la même indignation.
De ce souffle est né ce livre.
Sur le plateau karstique du Larzac, les brebis se désaltèrent à la lavogne. Les mégalithes jouxtent les cultures de pleine terre. Les drailles, bordées de murets de pierres sèches, mènent à d'imposantes caussenardes, enracinées depuis bien longtemps...
Quelle intrigue se trame là, en ce haut lieu de luttes ?
Fabrice Nicolino, Patrick Herman, Christian Roqueirol, Solveig Letort, Valéry Borraz et Morgane Blanc s'associent ici à un plaidoyer pour le monde qui vient.
A faire passer, comme on se passe le mot, et comme insuffle parfois le vent...
"Quand j'étais petit, j'avais une tante qui aimait tellement les animaux qu'elle en faisait la collection.
En plein Paris. Je vais te raconter ses aventures : à certains moments, tu ne vas pas me croire; mais tu ne le regretteras pas.Tout ce que tu liras est vrai, je le jure sur la tête de ma tata Thérèse à moi."
S'il ne veut pas perdre Sarilou, le petit singe qu'il aime plus que tout au monde devenu l'enjeu d'un imprudent pari, Yancuic doit attraper un poisson des trous à la main. Mais l'aventure va l'entraîner plus loin que prévu. Un superbe récit initiatique au coeur d'une Amazonie sauvage et préservée, au temps des conquistadors.
Une goutte d'eau tombe du ciel, sur le sommet d'une montagne. Elle ne pourra plus que descendre vers l'océan. Mais entre-temps, elle se sera transformée en glace ou en neige, aura dévalée les pentes d'une forêt, se sera retrouvée à la pointe du bec d'un oiseau ou sous le ventre d'un poisson, aura disparu sous terre pour ressurgir à une source, se sera assoupie dans un marais ou un estuaire. Mille histoires possibles, mille photos somptueuses pour raconter ce périple. Réunissant pour la première fois plus de 20 ans de travail photographique naturaliste sur ce thème, Jean-François Hellio et Nicolas Van Ingen nous racontent ainsi, à travers leurs merveilleuses images, l'eau sous toutes ses formes, dans tous ses voyages sur Terre. Et la beauté de ces voyages infiniment recommencés nous fait comprendre, sans grand discours, à quel point l'eau nous est indispensable, pour vivre, pour rêver aussi.
Les conséquences sanitaires de l'exposition aux pesticides sont d'ores et déjà massives.
Des centaines d'études, à l'échelle internationale, montrent que ces produits de la chimie de synthèse agissent, même à des doses infinitésimales, sur notre équilibre le plus intime. le cordon ombilical du foetus, le système endocrinien, la fabrication du sperme sont atteints. les cancers et les maladies neurologiques se multiplient. depuis 1945, l'industrie des pesticides a pris le pouvoir en france, sans que personne ne s'en doute.
Cet ouvrage donne des noms, livre des dates, fouille les archives. oui, des congrès prétendument scientifiques ont été truqués. oui, les industriels ont infiltré, et continuent de le faire, les commissions officielles chargées du contrôle des pesticides. oui, l'" agriculture raisonnée ", que les pouvoirs publics français présentent comme la solution de l'avenir, est une farce, une incroyable manipulation.
En lisant ce récit passionnant, vous découvrirez le rôle scandaleux de la haute administration de notre pays dans la mort de milliards d'abeilles. vous découvrirez comment est dissimulée l'existence de milliers de malades. vous découvrirez une vérité que personne ne pouvait soupçonner.
C'est un sujet qui peut nous paraître lointain, et pourtant il nous concerne tous. Car les pesticides sont partout, jusque dans la rosée du matin. Et dans la pluie des villes, bien sûr, de toutes les villes de France.Pour cette raison et quelques autres que vous apprendrez, les conséquences sanitaires de l'exposition aux pesticides sont d'ores et déjà massives. Des centaines d'études, à l'échelle internationale, montrent que ces produits de la chimie de synthèse agissent, même à des doses infinitésimales, sur notre équilibre le plus intime. Le cordon ombilical du foetus, le système endocrinien, la fabrication du sperme sont atteints. Les cancers et les maladies neurologiques se multiplient.Ce n'est pas drôle ? Non. Mais les auteurs de ce livre ont pris un parti : celui de raconter des histoires avec de vraies gens. Vivantes, parfois extravagantes. Depuis 1945, l'industrie des pesticides a pris le pouvoir en France, sans que personne s'en doute. Cet ouvrage donne des noms, livre des dates, fouille les archives. Oui, on a truqué des congrès prétendument scientifiques. Oui, les industriels ont infiltré, et continuent de le faire, les commissions officielles chargées du contrôle des pesticides. Oui, l'« agriculture raisonnée », que les pouvoirs publics français présentent comme la solution de l'avenir, est une farce, une incroyable manipulation.En lisant ce récit passionnant, vous découvrirez le rôle scandaleux de la haute administration de notre pays dans la mort de milliards d'abeilles. Vous découvrirez comment on dissimule l'existence de milliers de malades. Vous découvrirez une vérité que personne ne pouvait soupçonner.