Aujourd'hui, en France, 354 personnes pèsent 1 000 milliards d'euros.
Ce livre-enquête révèle l'origine des plus grandes dynasties financières (Rothschild, Arnault, Bolloré, Wertheimer, Pinault, Rockefeller). Il s'agit de retrouver quelle a été leur place réelle dans notre histoire. À quel point ils ont influencé les transformations des sociétés. Ils sont devenus des acteurs systémiques de l'économie.
Oui, ces riches appartiennent à une élite planétaire qui se déplace en jet privé, collectionne les voitures de luxe, organise des fêtes somptueuses, multiplie les domiciliations aux quatre coins du monde, investit tous les marchés, domine tous les réseaux.
Les riches, les très riches sont LE vrai pouvoir, aussi bien visible qu'invisible. Nous les connaissons sans les connaître, alimentant ainsi une fascination qui peut aller jusqu'à la haine.
Pour la première fois, cette histoire mondiale des riches vous les montre tels qu'ils sont.
Amours flouées, argent détourné, harcèlement moral, publicités douteuses, silences trompeurs, ou encore « affaires » politico-financières : les manipulations sont présentes dans une infinité de situations de la vie quotidienne et la crainte d'en être la victime se généralise.
Cet ouvrage propose une synthèse sur une notion apparue au XVIIIe siècle et qui s'est substituée peu à peu à celle de la ruse. Alors que la recherche de la transparence est sans cesse revendiquée, ce livre invite à s'interroger sur la place prise par la figure de la « pieuvre » qui incarne l'intelligence dévoyée des puissants au détriment de celle du « renard » qui se joue subtilement des règles du social.
Un portrait en clair-obscur du dirigeant sud-africain qui n'omet pas les erreurs ayant jalonné son parcours. Il avait lui-même admis avoir parfois mal accordé sa confiance ou avoir tardé à admettre les effets dévastateurs du sida.
Tous les indices concordent: nous entrons dans le siècle de l'information." Parue sous la plume du journaliste Auguste de Chambure en 1914, la formule a des allures de prophétie tant l'omniprésence des médias frappe, un siècle plus tard, l'observateur le moins averti.
Quelle a été la genèse du " paysage médiatique " dans lequel nous baignons? Quels bouleversements techniques, économiques, mais aussi sociaux et culturels, ont contribué à le façonner? Prenant en considération tous les médias - la presse, la radio, la télévision bien sûr, mais aussi le cinéma, les affiches, Internet Fabrice d'Almeida et Christian Delporte en retracent l'histoire. S'interrogeant sur la notion de culture médiatique, ils offrent des clés précieuses pour comprendre l'évolution qui a conduit, en quelques décennies, du Petit Journal à Twitter et de la TSF à "Qui veut gagner des millions?".
Une passionnante plongée au coeur des archives des armées pour découvrir une autre Histoire à la lumière de documents secrets, confidentiels, insolites ou méconnus que l'historien Fabrice d'Almeida présente en les remettant dans leur contexte.
Des pigeongrammes de Gambetta pendant le siège de Paris à la mission de sauvetage de l'Amoco Cadiz, l'incroyable variété des dossiers, choisis avec la complicité des différents services, nous éclaire sur le rôle des forces militaires au cours du siècle écoulé.
Ce livre constitue la première étude systématique sur les rapports entre la haute société allemande et les nazis. Les archives inédites, les carnets privés et les documents diplomatiques conduisent dans les coulisses du pouvoir, là où s'échangent des privilèges, des avantages fiscaux, des propriétés volées. Elles montrent comment les gens du beau monde se livrent à une course du zèle auprès de Hitler, comment les anciennes élites à commencer par les fils du Kaiser festoient en compagnie de parvenus et de quelle manière acteurs, aristocrates, technocrates de la SS, diplomates forment une étrange cour. Sur ce théâtre du pouvoir, ne manquent pas les femmes, persuadées d'avoir gagné en dignité ce qu'elles avaient perdu en droits civiques. De l'ascension de Hitler à sa chute, Fabrice d'Almeida brosse la fresque fascinante et dérangeante d'un groupe dont rien, ni la guerre, ni le pillage de l'Europe, ni les exterminations, ne vient troubler le cynisme et les loisirs de la chasse aux régates, de l'opéra aux bals, des dîners au tennis. Mieux qu'une étude de genre ou qu'une chronique, ce livre lève le voile sur une société qui avait fait du secret la plus efficace des barrières.
La propagande n'appartient pas au passé, bien au contraire ! Elle s'est recyclée dans nos agences de communication pour le meilleur et pour le pire.
Dans ce livre chronologique et thématique, Fabrice d'Almeida revient sur les principales techniques et les outils élaborés par les différents régimes (totalitaires ou démocraties) pour conquérir les opinions publiques, pénétrer les esprits et finalement gouverner les comportements. Et ce dans toutes les parties du globe.
S'appuyant sur de nombreux documents (affiches, photographies d'époque, tracts, campagnes publicitaires), il raconte le passé pour mieux décrypter le présent, démontrant que la propagande demeure une arme fatale et que les images sont ses meilleures munitions.
Quelle était la durée du temps de travail d'un gardien de camp de concentration ? Préférait-il jouer aux cartes, pratiquer la boxe ou se délasser en lisant un roman policier ? Sa famille vivait-elle avec lui ? L'enquête reconstitue la stratégie de gestion des ressources humaines que Himmler et ses adjoints ont mise en oeuvre dans les camps de concentration et d'extermination ainsi que des établissements annexes moins connus, non seulement pour permettre aux bourreaux d'accomplir leur office, mais surtout pour éviter qu'ils s'ennuient. En adoptant l'angle de vue des tueurs, le livre ne prétend pas excuser leur crime. Mais ce regard dérangeant dévoile la gouvernance de l'entreprise SS et les choix des leaders nazis. Jeux, lectures, cinéma, théâtre, bordel et vie de famille : le temps libre était pensé dans le détail. Tout cela banalisait la nature du « travail ».
Professeur d'histoire contemporaine à Paris-II, Fabrice d'Almeida a notamment publié La Vie mondaine sous le nazisme (Perrin, 2006) et, avec Anthony Rowley, Quand l'histoire nous prend par les sentiments (Odile Jacob, 2013).
Une histoire des images et de la propagande dans l'Europe du XXe siècle.
Quelle était la durée du temps de travail d´un gardien de camp de concentration ? Préférait-il jouer aux cartes, pratiquer la boxe ou se délasser en lisant un roman policier ? Sa famille vivait-elle avec lui ? Il n´existe aucune étude systématique des gardiennes et des gardiens. Les sources ne manquent pourtant pas, entre les archives de la SS conservées à Berlin et les nombreux dossiers individuels constitués lors de l´épuration. Ce livre part des documents de l´administration centrale qui les encadrait. L´ordre SS gérait tous les grands camps de concentration et d´extermination ainsi que des établissements annexes moins connus. L´enquête reconstitue la stratégie de gestion des ressources humaines que Himmler et ses adjoints ont mise en oeuvre, non seulement pour permettre aux bourreaux d´accomplir leur office, mais surtout pour éviter qu´ils s´ennuient. A Auschwitz, les gardiens n´ont pas seulement exterminé des femmes et des enfants, ils ont aussi tué le temps. Les tueurs nazis ont joui de loisirs savamment organisés alors qu´à la même époque les surveillants du Goulag étaient laissés dans une condition à peine supérieure à celle des détenus. En adoptant l´angle de vue des tueurs, le livre ne prétend pas excuser leur crime. Mais ce regard dérangeant dévoile la gouvernance de l´entreprise SS et les choix des leaders nazis dont l´ambition était de donner à leurs auxiliaires une vie agréable, celle d´une élite qui se pensait comme une nouvelle noblesse prédatrice. Jeux, lectures, cinémas, théâtres, bordel et vie de famille : le temps libre était pensé dans le détail. Tout cela banalisait la nature du «travail».
Fondée en 1941 par Paul Angoulvent, traduite en 40 langues, diffusée pour les éditions françaises à plus de 160 millions d'exemplaires, la collection " Que sais-je ? ", est aujourd'hui l'une des plus grandes bases de données internationales construite, pour le grand public, par des spécialistes.
La politique d'auteurs, la régularité des rééditions, l'ouverture aux nouvelles disciplines et aux nouveaux savoirs, l'universailité des sujets traités et le pluralisme des approches constituent un réseau d'informations et de connaissance bien adapté aux exigences de la culture contemporaine.
Peut-on dès maintenant porter un regard historique sur le XXe siècleoe C'est l'objet de cette synthèse qui tente de montrer quand et comment le tournant a été pris vers le XXIe siècle.
Quand et comment s'est achevé le XXe siècleoe A quel moment précis a commencé le XXIeoe Au Forum social mondial de Porto Alegre, du 25 au 30 Janvier 2001, à New York avec l'attentat du 11 septembre 2001, de façon diffuse avec l'ouverture publique d'Internet en 1993 ou plus tôt encore, en 1971, année du premier congrès de Davos et de la création de Médecins sans frontièresoe Comment écrire l'histoire de ce nouveau siècle à l'heure d'une information mondialisée et du parasitage médiatiqueoe Cette première histoire d'un siècle balbutiant raconte comment nous avons changé d'époque.
Les manipulations sont présentes dans de nombreuses situations de la vie quotidienne et la crainte d'en être la victime se généralise. Cet ouvrage propose une synthèse sur une notion apparue au XVIIIe siècle qui s'est peu à peu substituée à celle de la ruse. Il invite à s'interroger sur la place prise par la figure de la " pieuvre " qui incarne l'intelligence dévoyée des puissants au détriment de celle du " renard " qui se joue subtilement des règles du social.
Directeur, depuis 2006, de l'Institut d'histoire du temps présent, Fabrice d'Almeida, professeur à l'Université Paris II (Panthéon-Assas), tient une chronique dans N'ayons pas peur des mots, sur la chaîne I-Télé. Il est également consultant pour l'émission diffusée sur France 3, Le grand tournoi de l'histoire.
Le tueur en série naît au XIXe siècle avec l'urbanisation et le développement de la presse qui rend célèbre son activité. Les guerres mondiales et les totalitarismes du XXe siècle font ensuite considérablement évoluer sa figure et sa manière de tuer. Car le tueur en série est avant tout le reflet de la société dans laquelle il vit. À chaque société, pays, époque, son profil de tueur.
Fabrice d'Almeida nous propose une douzaine d'affaires ayant défrayé la chronique, de Jack l'Eventreur à Zhang Yongming, en passant par Landru ou Ted Bundy. Grâce à une iconographie exceptionnelle mêlant sources judiciaires et coupures de presse, il retrace le parcours fou de ces tueurs et remonte le fil des enquêtes, souvent rocambolesques, qui ont permis leur arrestation.
Il y a des moments où l histoire hésite. Alors, la décision d un homme, le sort d une bataille, la découverte ou l accident imprévus représentent autant de carrefours au sortir desquels l histoire d un peuple, voire du monde, prend une direction précise. Si Ponce Pilate avait gracié Jésus, si les Arabes avaient gagné la bataille de Poitiers contre Charles Martel, si Louis XVI avait réussi à quitter la France et Napoléon III à empêcher la guerre de 1870, si les Allemands avaient gagné en un mois celle de 1914 et si les Américains n avaient pas lâché la bombe atomique sur le Japon...Chacun sent bien que la longue durée historique autant que certains aspects de la vie quotidienne en auraient été modifiés.C'est sur ces hypothèses surprenantes que s écrivent les histoires potentielles ici racontées." Ainsi refait-on l'histoire, ici avec talent et brio, pour mieux en percer les logiques. Stimulant." L'Histoire
Il ne faut pas avoir peur des émotions collectives, ces formidables moteurs de l'histoire. Avec un véritable talent de conteurs, Anthony Rowley et Fabrice d'Almeida font revivre les grands événements à travers le vécu des contemporains, les puissants et les dirigeants, mais aussi les humbles et les anonymes. De la panique à Pompéi à l'hébétude du 11 septembre 2001, de la fièvre de la ruée vers l'or à l'angoisse des Londoniens secoués par les crimes de Jack l'Éventreur, de l'enthousiasme au moment de la chute du mur de Berlin à l'espoir suscité par l'élection de Barack Obama, en 2008, voici vingt histoires de l'histoire qui rendent aux sentiments leur juste place. Grâce à cette approche inédite, une image réaliste et savoureuse du passé surgit. Elle révèle la fabrique des sentiments collectifs, ce mécanisme par lequel les sociétés traversent les grandes mutations, les crises et les guerres, les révolutions scientifiques et les changements dans les moeurs. Longtemps historien à Sciences Po Paris, Anthony Rowley a publié de nombreux ouvrages, notamment sur la gastronomie, comme Une histoire mondiale de la table. Fabrice d'Almeida, professeur à l'université Panthéon-Assas (Paris-II), est spécialiste de la propagande et du nazisme. Son dernier ouvrage paru est Ressources inhumaines. Les gardiens des camps de concentration et leurs loisirs. Ensemble, ils ont précédemment signé Et si on refaisait l'histoire ?
Amours flouées, argent détourné, harcèlement moral, publicités douteuses, silences trompeurs, ou encore « affaires » politico-financières : les manipulations sont présentes dans une infinité de situations de la vie quotidienne et la crainte d'en être la victime se généralise.
Cet ouvrage propose une synthèse sur une notion apparue au XVIIIe siècle et qui s'est substituée peu à peu à celle de la ruse. Alors que la recherche de la transparence est sans cesse revendiquée, ce livre invite à s'interroger sur la place prise par la figure de la « pieuvre » qui incarne l'intelligence dévoyée des puissants au détriment de celle du « renard » qui se joue subtilement des règles du social.