PMA, FIV : un parcours de combattante raconté en bande-dessinée C'est un pays dont on tait le nom. Une jungle de sigles et de termes scientifiques. On pensait ne jamais y échouer. On s'y sent seul, incompris. Parfois même honteux. On y éprouve sa féminité, sa masculinité, son estime de soi, sa libido.
Ce pays, c'est l'infertilité. 20 % de la population le traverse, un couple sur cinq. Marie Dubois y a passé sept ans. Sept longues années de montagnes russes émotionnelles pour tenter d'avoir un bébé. « C'est dans ta tête ! », lui disait-on. L'auteure démonte cette idée reçue qui culpabilise, et révèle avec intelligence et humour comment l'infertilité est devenue un problème de santé publique.
Cette bande dessinée est un voyage intime. C'est aussi une enquête journalistique nécessaire pour briser un tabou.
Sacrée Didi Crapule ! Avec sa queue de cheval magique un brin coquine, elle adore enchaîner les bêtises... et les mensonges ! Ça commence naturellement avec un mensonge tout riquiqui, presque gentil, et ça se poursuit avec des mensonges de plus en plus gros, encombrants, étouffants ! Si bien que Didi Crapule croule bientôt sous leur poids ! Comment s'en débarrasser et s'en libérer ? Heureusement que Maman est là !...
Dans cette aventure, l'auteure choisit d'aborder la thématique du mensonge et de ses conséquences tout en les dédramatisant avec humour.
La pétillante Didi Crapule part à la rencontre du fantôme de l'école !
C'est la fin des grandes vacances et Didi Crapule doit retourner à l'école. Mais une rumeur circule dans le quartier : les murs de l'école seraient hantés par un fantôme !
Ni une, ni deux, la facétieuse Didi Crapule décide de partir à sa rencontre... oui mais voilà, le plus effrayé des deux n'est pas forcément celui qu'on croit !...
Et finalement, contre toute attente, une histoire d'amitié atypique va naître entre Didi Crapule et ce charmant petit fantôme !
Dans cette aventure, l'auteure choisit d'aborder la thématique de la peur en la dédramatisant avec humour et en transformant cette appréhension de l'inconnu en opportunité d'amitié.
Capucine est divorcée. En grande romantique, elle croit toujours très fort en l'amour et, comme beaucoup de nos contemporains, espère le retrouver par les voies du virtuel. Au fil de ses rencontres plus ou moins heureuses, nous suivons le chemin emprunté par son coeur et son corps pour, enfin, découvrir avec elle ses vrais besoins, ses désirs... L'amour est-il sur la route ?
Trouver sa voix n'est pas uniquement le fruit d'une technique vocale approfondie mois l'aboutissement d'une recherche personnelle. Plus de vingt ans d'expérience du chant ont permis à Male Dubois d'élaborer sa propre méthode d'enseignement : une part importante de psychologie et de sensibilité, une capacité à dynamiser les chanteurs quel que soit leur âge, une approche ludique de la technique vocale, une connaissance de la scène pour guider l'interprétation. Ce guide aborde des questions aussi utiles que la physiologie, l'identité vocale, le bien-être par le chant, comment séduire un public et se produire sur scène. Il propose également tout un corpus de renseignements pratiques pour choisir une chorale, un professeur, les coûts d'une formation musicale, les modalités pour participer à des auditions ou réaliser une maquette... Un ouvrage qui s'adresse à tous ceux qui, pour des raisons personnelles et /ou professionnelles, désirent développer au mieux les capacités de leur voix.
Littérature, mathématiques, société ou encore philosophie : les réflexions et les avancées de nos civilisations antiques et modernes sont-elles l'apanage des hommes ? Les autrices et auteurs de Libres de penser reviennent sur 10 personnalités féminines auxquelles l'Histoire n'a, pour la plupart, pas rendu hommage malgré leur avance évidente sur leur temps. Sei Shonagon et ses innovations littéraires, Christine de Pizan et sa recherche de sagesse par l'érudition, ou encore Simone de Beauvoir et ses réflexions novatrices sur l'égalité des sexes : 10 femmes innovantes dont les modes de pensée ont traversé les âges et les frontières.
Sexus politicus avait brisé le tabou du sexe et de la politique. Quinze ans plus tard Sexus diabolicus explore à nouveau les alcôves du pouvoir.
Mais depuis, une révolution s'est imposée : celles des femmes. Longtemps dans l'ombre, elles prennent leur revanche, font reculer l'omerta et accusent.Voici donc venu le temps de Sexus diabolicus : dénonciations anonymes, outing forcés, enquêtes sauvages dans certains partis, les affaires scabreuses explosent.
Qui tranche ? Un tribunal public né des réseaux sociaux et autres boucles WhatsApp. Après des décennies d'impunité - DSK, Baupin, Hulot et tant d'autres - on instruit désormais en direct et sans règles des scandales réels ou... imaginaires.Des QG de campagne aux partis ébranlés par ces affaires, des ministères aux collectifs féministes, les auteurs lèvent le voile sur cette nouvelle ère, la formidable avancée qu'elle représente, mais aussi ses excès et ses dérives.Un document exceptionnel qui nous dévoile ce qui se passe vraiment dans les coulisses de notre petit théâtre politique. Christophe Dubois est journaliste à 7 à 8 sur TF1. Il a co-écrit de nombreux ouvrages dont les best-sellers Sexus politicus (avec Christophe Deloire) et Les islamistes sont déjà là. Marie-Christine Tabet est directrice adjointe des rédactions du Parisien. Elle a co-écrit plusieurs livres dont L'argent des politiques et Vie et mort de la SNCF (avec Christophe Dubois).
Plus ils sont nombreux, et plus les chômeurs sont suspectés d'être la cause du chômage. Tel pourrait être le paradoxe des politiques de lutte contre le chômage, en France comme ailleurs en Europe. Avant même qu'on ne parle de politiques de retour à l'emploi (activation) ou d'allocations conditionnées à l'activité (workfare), s'est développé un mode de traitement individualisé du chômage consistant à agir sur les chômeurs euxmêmes. Ce livre a pour objet de montrer ce que l'essor du contrôle des chômeurs révèle des tendances et des transformations du traitement des chômeurs par les institutions qui en ont la charge et, au-delà, de la société qui agit par leur intermédiaire : la mise en cause de la responsabilité individuelle des chômeurs dans le chômage comme problème collectif. Il revient sur l'histoire de cette question, montre comment dans la période récente l'intensification du contrôle a été organisée, mise en pratique et justifiée au nom de la « redynamisation » des chômeurs, révèle les effets de ces dispositifs et indique les résistances individuelles et collectives qui peuvent s'opposer à ces évolutions coercitives.
Nola et son nounours Max construisent une pyramide dans le sable par une belle journe´e ensoleille´e.
Mais voila` que tout le monde s'en me^le. Et, en plus, ils ne comprennent rien. Ils pensent que c'est un cha^teau !
Marie Barguirdjian raconte avec justesse ce besoin de solitude qu'ont les enfants parfois, illustre´ avec tendresse et lumie`re par Claude K. Dubois.
Couloirs aux plafonds de verre taillés dans le tissu urbain, les passages couverts parisiens connaissent leur apogée sous la Restauration. Ils sont les héritiers architecturaux du souk oriental dont ils reprennent les coupoles et la juxtaposition des boutiques mais aussi du cloître monastique dont les arcatures rythmant la déambulation donnent le modèle de la répétition régulière des travées commerciales.
Les galeries parisiennes présentent l'immense avantage, dans une ville largement dépourvue de trottoirs et d'égouts, de permettre un cheminement à l'abri des intempéries et des voitures. Ces raccourcis commodes deviennent vite des lieux d'attraction et s'offrent, selon l'expression de Walter Benjamin, en « rues lascives du commerce ».
La grande refonte haussmannienne de Paris sera fatale à beaucoup de passages, emportés par les percements des larges avenues et des boulevards. Les intérêts se déplacent, tout comme changent les formes du commerce... faisant de la vingtaine de galeries couvertes encore accessibles des parenthèses désuètes au coeur de la ville.
Si les maisons anciennes ont une âme qui inspire du respect, leur rénovation offre malgré tout l'occasion de les adapter aux besoins d'un mode de vie plus actuel. Simplement, remises en état et entretenues ou totalement transformées, elles prolongent leur existence mais gagnent aussi en confort et en séduction. En voici l'illustration à travers plus de 30 réalisations accompagnées d'un guide pratique et administratif qui vous donneront des pistes avant de vous lancer. Au sommaire : Remettre en état - Valoriser les matériaux - Changer de fonction - Moderniser en douceur - Restructurer - Agrandir - Rénover pour de la basse consommation - Guide pratique et administratif.
Sous l'apparence d'une extrême simplicité, la maison permet de développer de multiples images personnelles, des conceptions idéologiques et architecturales, des modes d'existence ou des choix de vie, des projections imaginaires ou des métaphores, des projets irréalistes ou des rêves d'une extrême concrétude, des souvenirs vrais ou faux portés par des perceptions sensorielles et corporelles d'une richesse infinie.
Les oeuvres d'Absalon, Magnus Gramén, Wolfgang Laib, Maude Maris et Tatiana Trouvé apportent un contrepoint conceptuel et contemporain à l'approche d'apparence plus intimiste et spontanée proposée par les artistes de la collection Sainte-Anne, entre la fin du XIXe siècle et les années 2000.
Exposition organisée par le Musée d'Art et d'Histoire de l'Hôpital Sainte-Anne, du 31 janvier au 31 mai 2020.
L'artiste et écrivain allemande Unica Zürn, de son vrai nom Nora Berta Unica Ruth Zürn, naît le 6 juillet 1916 à Berlin. Après des études commerciales, Unica Zürn devient scénariste et auteur de films publicitaires jusqu'en 1942. A partir de 1939, sa mère l'introduit dans la haute société nazie. En 1949, année prolifique, elle publie ses premiers récits en prose dans la presse, réalise plusieurs contes radiophoniques et fréquente le milieu du cabaret.
C'est en 1953 qu'elle rencontre Hans Bellmer qui devient son compagnon, et ce, jusqu'à la fin de ses jours. Lui écrit, elle compose des anagrammes et des dessins. A la même époque, elle rompt de manière définitive tout contact avec sa mère qui l'avait associée à la «période criminelle nazie».
1956 est l'année de sa première exposition personnelle parisienne à la galerie Le Soleil dans la Tête. Et en 1959, elle participe avec Hans Bellmer à l'Exposition internationale du surréalisme chez Cordier. En 1957, elle rencontre Henri Michaux qui lui inspire le personnage de son roman « L'Homme-Jasmin ».
À la suite d'une dépression nerveuse et d'une « crise » schizophrénique, elle fait un séjour à la clinique Wittenau et une première tentative de suicide. Pendant une dizaine d'années, les crises alterneront avec des séjours en clinique, à Sainte-Anne à Paris (septembre 1961), à La Rochelle, à Maison-Blanche à Neuilly-sur-Marne (1966, 1969 et 1970). En clinique, elle dessine à l'encre de Chine et peint. Le 19 octobre 1970 autorisée à sortir de Maison-Blanche où elle est internée depuis 1969 , elle se rend chez Bellmer et se suicide en se jetant par la fenêtre de son appartement.
Cette exposition s'inscrit dans la continuité historique des présentations de la Collection Sainte-Anne, et de la préfiguration des prochaines salles d'exposition du musée dans l'ancienne chapelle de l'hôpital.
Luxe d'aujourd'hui, l'espace manque souvent. Vécu comme une contrainte, les petits espaces sont pourtant source d'intimité et d'économie. Ils exigent de se contenter du strict nécessaire, valorisant le sens pratique et l'ingéniosité. En un mot, ils sont stimulants pour l'imagination et reposants pour le portefeuille.Au programme : Garder l'esprit ouvert - Introduire de la mobilité - Cultiver le sens pratique - Exploiter l'espace disponible - Guide pratique - Carnet d'adresses
Une collection à succès, appréciée des élèves pour son approche concrète et accessible.
Découvrir le thème : présentation de l'organisation et des enjeux du chapitre.
Comprendre les notions : des documents clairs et accessibles choisis pour capter l'attention des élèves. Des encadrés « Notion » apportent les connaissances nécessaires.
Réinvestir les notions : une grande variété d'activités prenant appui sur des outils numériques pour faire le lien entre les capacités et les savoirs. Un accès direct pour les élèves aux fichiers nécessaires pour réaliser les exercices. Des applications spécifiques, dédiées à l'entraînement pour le Grand Oral.
Retenir l'essentiel : un schéma de synthèse clair et attrayant.
Préparer l'examen : en fin d'ouvrage, un dossier « Spécial Grand oral » comportant une présentation de l'épreuve, une fiche pour décrire la démarche de projet (grilles prêtes à l'emploi) et des conseils pour la soutenance orale.
Appliquer : des fiches méthode sur les outils numériques à mobiliser dans cette discipline, en lien avec la certifcation Pix.
Des ressources numériques nombreuses et variées : vidéos interactives, vidéos, schémas animés et commentés, QCM.
Cet ouvrage propose de découvrir comment donner une nouvelle vie à votre maison en lui offrant une extension ou en exploitant le volume de ses combles. Lumière, chaleur et volume insoupçonnés peuvent naître de lieux autrefois sombres et mal chauffés ou de maisons aux murs devenus étriqués. Chaque projet est unique et nécessite sérieux et précision pour garantir la réussite de la réalisation, mais presque tout est possible pour obtenir plus de surface et procurer plus de confort.Au sommaire : 60 projets d'extension - 70 aménagements de combles - Guide pratique.
Née en 1930, Corinne Deville est la fille de Jean Deville et d'Elisabeth de la Mauvinière, deux artistes ardennais. A 17 ans, elle rencontre, à Chamonix, Jean Taittinger, son futur mari.
Dès 1946, elle commence à peindre, des gouaches suivant l'influence de ses parents. Rapidement son style s'émancipe et évolue. Elle exprime dans son oeuvre toutes ses angoisses et ses souffrances. Elle donne naissance à un univers pictural personnel et unique.
Elle exprime notamment dans ses tableaux, son amour pour Jean, son mari, mais aussi son angoisse due à ses nombreuses absences. Associant images et textes, ces tableaux se regardent autant qu'ils se lisent. La présence de textes, plus ou moins flagrante, apporte de nombreuses informations. Elle dédie ainsi ses oeuvres à son mari, à sa mère, à sa soeur. Elle y évoque ses enfants et décrit même sur l'un d'entre eux l'ensemble des événements ayant lieu dans l'année.
Pourtant subjectif, le confort demeure le principal critère de qualité d'un logement, ultime refuge vis-à-vis du monde extérieur. Qu'il concerne la convivialité de la cuisine, ou l'intimité de la chambre et de la salle de bain, il n'est accessible qu'à travers des espaces bien conçus et agencés. Equipements adéquats, implantations pratiques et surfaces optimisées sont les points forts des nombreux projets d'architectes présentés dans cet ouvrage richement illustré.
Une pochette consommable construite à partir de contextes variés pour prendre un bon départ avec la Gestion et Finance. Elle répond aux différentes pratiques d'enseignement et accompagnent les élèves dans la préparation du projet et du grand oral. Découvrir le thème : présentation de l'organisation et des enjeux du chapitre. Comprendre les notions : des documents clairs et accessibles choisis pour capter l'attention des élèves. Des encadrés « Notion » apportent les connaissances nécessaires. Réinvestir les notions : des applications variées, pour des parcours différenciés qui prennent appui sur des outils numériques et font le lien entre les capacités et les savoirs. Un accès direct pour les élèves aux fichiers nécessaires pour réaliser les exercices. Retenir l'essentiel : un schéma de synthèse clair et attrayant. Préparer l'examen : en fin d'ouvrage, un dossier « Spécial grand oral » comportant une présentation de l'épreuve, une fiche pour décrire la démarche de projet (grilles prêtes à l'emploi) et des conseils pour la soutenance orale. Appliquer : des fiches méthode pour faire le point sur les outils numériques à mobiliser dans cette discipline (Tutoriels, logiciels...). SKETCHNOTE : synthèse dessinée, commentée, en vidéo.
Le choix des couleurs de son cadre de vie doit se faire avec bonheur et légèreté et ne pas être déterminé par la peur de se tromper. Pour vous y aider, cet ouvrage vous propose diverses sources d'inspiration à copier en tout impunité ! Envies de gaieté, de style ou de dépaysement, à vous de choisir et de reproduire les harmonies proposées. Des conseils vous indiquent les règles d'or à respecter et quelques erreurs à éviter. Enfin, à chacune des propositions, vous trouverez le pour et le contre, susceptibles de vous aider à passer à l'acte !Au programme : Envie de gaieté ! - Envie de style ! - Envie de dépaysement !
Dès qu'un réel intérêt se porte vers des oeuvres qui ont été créées par des personnes qui ont croisé, à un moment de leur existence, des problèmes psychiques ou psychiatriques, les interrogations émergent, les confusions conceptuelles se multiplient, les croyances s'affirment.
Dans les années 1950 et surtout 1960, les psychiatres pensaient que les oeuvres réalisées par leurs patients ne pouvaient être que le reflet de leur pathologie. À travers le travail de treize artistes de la Collection Sainte-Anne, cet ouvrage questionne les processus de lecture de ces oeuvres qui, au-delà du symptôme, sont représentatives des courants artistiques de leur époque.
Cet ouvrage relate une formidable épopée qui se termine par la célèbre « Bataille du charbon », le temps des Houillères nationales et la récession. Tour à tour y sont décrits les balbutiements de l'extraction, les lents progrès techniques, les grandes découvertes du gisement, le travail des hommes, des femmes et des enfants au fond de la mine, les accidents, les grèves, l'évolution des conditions de travail et des compagnies minières, l'imposante modernisation après la Nationalisation, jusqu'à la récession, la « dernière gaillette » et les souvenirs restés en place. Des pages historiques qui laisseront le lecteur imprégné des poussières du charbon désormais disparu du pays des « Gueules noires ».