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Max Cabanes
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Paris, 1975 : les années pop, le papier mural à fleurs, les pattes d'eph'... Eugène Tarpon, un ex-gendarme désabusé, a quitté la police à la suite d'une bavure pour s'établir détective privé à son compte. Tarpon est un brave type au grand coeur, toujours prêt à défendre les plus faibles. Mais la chance lui tourne décidément le dos... Un soir, après quelques verres de trop, il décide de renoncer à son nouveau métier et de retourner vivre chez sa mère, en province. C'est alors qu'au beau milieu de la nuit, Tarpon voit débouler à sa porte une jeune femme en état de choc, qui répond au doux nom de Memphis Charles. Memphis a un sérieux problème : sa colocataire a été égorgée et elle a peur que la police l'accuse du crime. N'écoutant que son courage, le détective va se porter à son secours et se retrouver entraîné dans un tourbillon d'événements qui le dépassent totalement...
Quand Manchette et Cabanes revisitent le classique personnage du détective privé, il faut s'attendre à de l'explosif, du décapant, du cocasse, dans un polar mené à 100 à l'heure en 100 pages trépidantes.
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Ils sont six : Épaulard, l'expert vieillissant ; D'Arcy, l'alcoolique violent ; Buenaventura Diaz, le caméléon aux identités multiples ; Treuffais, le prof de philo désabusé ; le jeune Meyer, dont la femme folle finira bien par le tuer un de ces quatre ; et Cash, la putain auto-proclamée à l'intelligence troublante. Des profils aussi disparates que leurs passés respectifs. Pourtant, ensemble, ces paumés d'extrême gauche formeront le groupe « Nada ».
Leur premier coup d'éclat : enlever l'ambassadeur américain, en visite discrète dans une maison close parisienne.
Une opération aussi risquée exige audace et maîtrise. Mais si le gang de marginaux l'exécute sans coup férir, la suite ne sera pas si simple. Chargé de l'affaire, le rusé commissaire Goémond va mener une sanglante traque aux "anarchistes"... Entre morts inutiles, dégâts collatéraux et pressions politiques, les membres du groupe « Nada » s'apprêtent à passer les plus longues heures de leur existence... Avant quelle fin ?
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Aimée a tout pour plaire aux notables de Bléville : jeune, belle et veuve, elle s'intègre rapidement dans la sociabilité de cette ville de province rongée par l'habituel cocktail d'histoires de fesses et d'histoires de fric qu'on garde entre soi. Aimée observe. Elle attend la crise inévitable, celle qui finit toujours par éclater. Alors elle pourra enfin jouer franc jeu avec tous ces pourris, et les faire payer, dans tous les sens du terme. Car ce que personne ne sait, c'est qu'Aimée est une tueuse professionnelle...
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La vie s'écoule paisiblement dans le village des Merdouzills. Accompagnés de leurs amis, Julienne et Jean-Marie partent en quête de la corniflure, substance qui développe une intelligence hors du commun à quiconque la consomme. Mais c'est tout un vaste monde magique qu'ils découvriront, ainsi que la menace qui pèse sur leur village : les Anti-Jôles. Ces nouveaux héros devront alors retrouver la Crognote Rieuse, seul être à pouvoir sauver tous les Merdouzills. Une histoire décalée, pleine de rebondissements, d'humour et de tendresse.
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La princesse du sang ; intégrale
Jean-patrick Manchette, Max Cabanes
- Dupuis
- Aire Libre
- 30 Octobre 2015
- 9782800165684
L'adaptation d'un roman de Manchette, pape du roman noir, par les auteurs de Fatale. On ne connaissait qu'une version inachevée de La princesse du sang, l'un des derniers romans de Jean-Patrick Manchette, avant que Doug Headline et Max Cabanes ? depuis auteurs de Fatale ? ne le mettent en images dans un diptyque aujourd'hui retravaillé, réuni en intégrale et agrémenté d'un dossier illustré.
Pourtant, ce titre posthume est singulier dans l'oeuvre du maître du polar, puisqu'il entraîne le lecteur, sous fond d'espionnage et avec noirceur, dans les enjeux politiques et économiques de l'après-guerre.
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Réalisé pour (A SUIVRE) au milieu des années 80 par Max Cabanes, Colin-Maillard inaugure en bande dessinée la description autofictionnelle de l'éveil à la sensualité. Composé de saynètes aux noms évocateurs « Roberta », « Bertille », « La Demoiselle », la série relate les premiers émois de Maxou - 9/10 ans - devant une cheville, une fesse ou un sein plus ou moins volontairement exposés à son regard effaré et goulu. Dessiné dans un style réaliste mais profondément généreux dans le trait comme la couleur, Colin-Maillard fut un choc graphique et émotionnel pour de nombreux lecteurs à sa parution. Il marque un jalon essentiel dans l'accès de la bande dessinée au statut d'Art mature. Complété de sa suite Maxou contre l'Athlète, et réédité dans le cadre des 40 ans de romans en bande dessinée chez Casterman, Colin-Maillard est encore aujourd'hui une parfaite description de l'initiation des jeunes garçons à l'inconnu de la féminité.
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Johnny Cash c'est une voix. Grave, profonde, reconnaissable entre toutes. C'est aussi une gueule, burinée, à l'expression dure, sombre, parfois tragique. C'est encore la silhouette singulière du « Man in Black » tout de noir drapé, du stetson aux bottes. C'est enfin une légende qui s'est tissée autour de lui, qu'il en ait parfois encouragé le développement ou qu'il l'ait combattu... Johnny Cash, une des plus belles légendes du Rock'n'Roll.
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Dans les villages Tome 5 ; l'école de la cruauté
Max Cabanes
- Dupuis
- Expresso
- 19 Octobre 2005
- 9782800136745
" Nous sommes chassés, parqués, isolés, je n'ai même plus le coeur d'en parler.
J'en ris de lassitude. Dzino, au nom de mes frères et mes soeurs, dessine-nous un pays ! Fais-nous des racines, fais-nous un sol. Nos frontières actuelles se limitent à ce bistrot, Dzino. Ca te concerne, ça, non ? Je ressens comme un vertige "