L'agroalimentaire, premier destructeur de biodiversité arrive en tête des activités émettrices de gaz à effet de serre. En cause, un modèle productiviste fondé sur l'hyperconsommation et la rentabilité, responsable d'une perte de valeur écologique, sanitaire et sociale. Un système perdant-perdant qu'il est urgent de réformer. Le bio et son cahier des charges excluant pesticides chimiques et OGM, respectueux de la biodiversité et du bien-être animal, semble offrir un modèle alternatif. Pourtant, les entreprises respectueuses de l'environnement, du consommateur ou producteur et centrées sur le local butent sur un plafond de verre. Cette inertie n'a pourtant rien d'une fatalité, comme l'illustre l'aventure « Biocoop », ouvrant la voie d'un modèle vertueux susceptible de devenir majoritaire. Pierrick De Ronne est le président de l'entreprise "Biocoop" depuis 2019.
«?On a encore le temps?», c'est ce que sous-entendent ceux qui négligent le sujet du climat. Les mêmes affirment souvent que l'humanité trouvera les solutions technologiques pour stabiliser le climat. D'autres, au contraire, considèrent qu'il est «?déjà trop tard?». Ces deux raisonnements opposés aboutissent à un même malentendu... Vu du citoyen, le double message, soit «?on a le temps?», soit «?c'est trop tard?», fait croire qu'il n'y a pas, ou plus, de vraie urgence. Dans cet ouvrage, l'auteur prend la hauteur nécessaire pour sortir de ces postures contre-productives et dresser un juste bilan de la situation?: nous sommes entrés dans un contexte pré-révolutionnaire, une phase préalable à un basculement obligatoire vers un autre modèle de société et de développement. Un livre pédagogique et puissant pour sonner la mobilisation générale.Géraud Guibertest président de La Fabrique Écologique, fondation pluraliste.
Alors que l'urgence climatique n'a jamais été aussi forte, l'hydrogène décarboné est de plus en plus perçu par de nombreux États et institutions telles que l'Union européenne comme un moyen d'atteindre nos objectifs climatiques, de sauvegarder la compétitivité de notre industrie et de développer l'emploi. L'hydrogène bénéficie actuellement d'une dynamique politique et commerciale sans précédent, avec un nombre croissant de plans d'action et de projets dans le monde, comme c'est le cas en France. Le moment est venu de développer les technologies et de réduire les coûts pour permettre à l'hydrogène d'être largement utilisé
La terre, être silencieux dont nous sommes l'une des expressions vivantes, recèle les valeurs permanentes faites de ce qui nous manque le plus : la cadence juste, la saveur des cycles et de la patience, l'espoir qui se renouvelle toujours car les puissances de vie sont infinies....
Avec ce texte, magnifiquement illustré par Pascal Lemaître, Pierre Rabhinous fait partager son amour pour la Terre, pour la nature, et nous appelle à en prendre soin.
"L'équilibre entre l'énergie reçue et l'énergie renvoyée est rompu : il fait de plus en plus chaud.
Conséquence, les forêts brûlent, la glace fond, les océans gonflent. les tempêtes se renforcent. Plus l'air est chaud plus il porte de vapeur d'eau. L'évaporation assèche les sols ici, inonde soudain là-bas..." À travers des anecdotes, des souvenirs et le travail d'une vie, Brice Lalonde fait un constat percutant sur un mouvement politique dévoyé, « les écolos », sur les enjeux de l'écologie devenus planétaires et nous donne quelques raisons d'espérer.
Construit de chapitres courts et vifs, le livre de Brice Lalonde nous donne à réfléchir sur nos responsables et nos responsabilités.
La menace climatique prend de court nos façons de vivre, nos connaissances, nos métiers, nos cultures, nos institutions, nos politiques, c'est à dire tout ce qui devrait nous permettre de l'écarter.
L'objet de cet essai de tenter de décrire les biais de représentations de la réalité ; afin de reformuler la menace en termes opérationnels pour la contrer. Puis de proposer une organisation, accompgnée d'outils et desolutions efficaces, massivement reproductibles à l'échelle du temps qui reste.
Redécouvrons la vie à hauteur d'homme. Le local, c'est là où on a droit de cité, là où on peut mener des projets et en mesurer les résultats «en présentiel«, loin des politiques nationales devenues virtuelles.
Autonomie énergétique, alimentation, lien social et âges.